Bonjour, bonjour !
Cet article va traiter d’un de mes livres préférés, dans la catégories de « je l’ai lu plus de trois fois ». Il s’appelle Le château de Cassandra et a été écrit par Dodie Smith, qui est aussi à l’origine des « 101 dalmatiens » !
Bon, cette histoire, c’est principalement les pensées et rêveries d’une jeune fille de 17 ans, qui nous partage une partie de sa vie à travers son journal.
Dans un château, autrefois intact, vit Cassandra, son journal et sa famille aussi originale et excentrique qu’elle. Leur quotidien, qui pourrait paraitre romantique et poétique malgré le manque d’argent le devient vraiment quand deux jeunes américains s’installent dans la propriété voisine.
Cassandra est incroyable de maturité et très intéressante. Elle tient à garder ce journal à jour et on en est bien content ! La vie dans ces ruines, c’est comme une pièce de théâtre où l’on voit toute cette jolie famille défiler de pièces en pièces. Il ne se passe pas grand chose mais c’est tourné d’une telle manière que chaque moment nous fait réfléchir sur quelque chose de différent. Et puis, Cassandra nous parle des paysages anglais comme du paradis alors ça donne envie de se mettre au pudding ;).
Ce manque d’argent dont je parle dans le résumé rend la famille plus attachante et l’on voit comment chacun vit cette misère. Avec la grande sœur prête à tout pour sortir de ce trou (une petite Scarlett O’Hara en puissance) ou la belle-mère qui trouve tout cela très poétique !
L’histoire mêle amour, poésie, humour pour nous faire vivre ce quotidien au fin fond des paysages britanniques. Un peu comme une Charlotte Brontë ou une Jane Austen, en plus vivant et touchant. Le travail d’écriture aussi est incroyable, ce qui rend toute l’œuvre captivante et plaisante à lire. Tout le monde a déjà rêvé d’avoir la faculté de lire dans les pensées. On a la chance, ici, de pouvoir voir le monde, comme le voit Cassandra.
J.K Rowling dit bien:
« Cassandra, un des personnages les plus charismatiques que j’aie jamais rencontrés. » Ce n’est pas moi qui l’ai dit !
A bientôt,
Maëlys